coquillesLa coquille Saint-Jacques, pour ceux qui ne sont pas végétariens, est un plat apprécié des réveillons et jours de fêtes, tout comme les fruits de mer en général. Mais une étude menée par les chercheurs de l’université de Plymouth au Royaume-Uni, vient de révéler la présence de microparticules de plastique dans l’organisme des coquilles Saint-Jacques en vente à la consommation.

Les chercheurs ont reproduit les conditions réelles de pollution marine qui ont pu amener autant de nanoparticules dans l’organismes de ces mollusques, afin de comprendre comment il les assimilaient. « Après à peine six heures d’exposition à ces particules, les scientifiques expliquent avoir retrouvé des milliards de particules de 250 nm de diamètre (0,00025 mm) dans les intestins de l’animal. »

Ensuite, plongés dans une eau propre, il aura fallu 14 jours à ces petits animaux pour se débarrasser des microparticules, dont 2 jours pour évacuer les plus gros « morceaux ». Cependant, ce processus de purification n’a pas lieu pour les coquilles Saint-Jacques destinées à la consommation, et ces microparticules toxiques finissent alors dans les assiettes. Et rappelons que l’être humain s’en débarrasse beaucoup moins facilement que ces mollusques, et que les conséquences à terme sont aussi très graves pour notre santé. Et si on devenait végétariens ?

De plus, il est de notre responsabilité de nous battre pour que le plastique cesse de polluer le monde, les océans, et les animaux qui y vivent… Se lancer dans le Zéro Déchet pour les fêtes, ou pour 2019, ça vous tente ? Lire l’article source sur Consoglobe…

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